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novembre 2021

Leonor Roversi x Divine Trouvaille Collab

Leonor Roversi x Divine Trouvaille : la collaboration

By LA MARQUE
Collab' Divine Trouvaille et Leonor Roversi foulard

Cette semaine, sort la collaboration Leonor Roversi x Divine Trouvaille. Tout comme Leonor Roversi, Divine Trouvaille est une marque lyonnaise fondée par la créatrice Valérie Bonnet. Cette marque revisite la soie lyonnaise, joyau de notre patrimoine textile afin de proposer de nouvelles façon de la porter.

Leonor Roversi x Divine Trouvaille : une collaboration autour de Frida Khalo

La pièce porte le nom “Freeda” car elle met en avant l’artiste mexicaine Frida Kahlo. Connue pour son art, elle est aussi reconnue pour ses engagements contre les injustices. Cette femme n’a jamais cessé de se battre pour ses rêves, d’où le nom “Freeda”. Il s’agit de la contraction du prénom de l’artiste et du mot “free”, qui signifie “libre” en anglais.

Pour cette collaboration 100% lyonnaise, nous reprenons deux éléments clés des deux marques : le visuel de Frida Khalo mis en avant par Leonor Roversi dans la collection Reflet de l’âme, et la soie de divine Trouvaille, ici travaillée en format gavroche. 

Leonor Roversi x Divine Trouvaille : une collaboration 100% lyonnaise

Le carré Freeda a été conçu et fabriqué en France et plus précisément à Lyon, capitale historique de la soie. Le visuel a été dessiné à la main pour être ensuite numérisé. La gavroche, vintage et tendance, s’associe à un visuel haut en couleurs.

Ces deux marques partagent également des valeurs qui leur sont chères. En effet, elles mettent toutes deux en avant un mode de conception éthique et local. Les accessoires de Divine Trouvaille sont tous conçus à Lyon et les visuels des pièces Leonor Roversi sont imprimés dans un atelier lyonnais.

Leonor Roversi x Divine Trouvaille Collaboration
Leonor Roversi x Divine Trouvaille Collab
Les odieuses : anti-héroïnes féministes

Les odieuses : des anti-héroïnes féministes

By 100% FÉMINISTE
Les odieuses : anti-héroïnes féministes

Dans l’art, la représentation des femmes est souvent peu diversifiée. De nombreuses figures féminines sont perçues de manière binaire. En les analysant davantage, on se rend compte que leur personnalité est bien plus complexe. Ces femmes sont nuancées. Elles ne sont pas juste méchantes ou juste gentilles. Dans cet article, nous vous proposons de redécouvrir trois femmes, des anti-héroïnes féministes, fictives ou réelles, qui incarnent parfaitement la femme libre, déterminée et artistique.

Maléfique : une anti-héroïne féministe attachante

Le personnage de Maléfique, anti-héroïne initialement introduit dans le film La Belle au bois dormant, a été l’héroïne de la saga éponyme. La représentation de Maléfique, « maîtresse absolue du mal », dans les films nous a beaucoup plu ! Dans un sens, elle brise les stéréotypes de la femme docile dans le cinéma. Elle montre aussi aux petites filles qu’elles peuvent avoir le caractère qu’elles désirent. Maléfique est un personnage féministe incarné par Angelina Jolie qui disait d’ailleurs que « les femmes en ont assez des injustices ». Contrairement au film de La Belle au Bois dormant, dans les films de la saga, Maléfique est réellement bienveillante envers Aurore. Malgré cela, Maléfique est perçue comme un personnage méchant bien que cette dureté est en partie dû à son histoire. En effet, on apprend que Maléfique à été victime de nombreux hommes, notamment de leur cupidité. 

Miranda Priestly : une anti-héroïne féministe déterminée

Miranda Priestly du Diable s’habille en Prada est une anti-héroïne qu’on admire tout de même de par sa puissance, son art, sa franchise et son glamour. Cette femme charismatique et froide soulève des questions chez nous toutes. Pression patriarcale, conditions de travail et même comment être assurément soi-même. Comme on a pu le lire récemment dans un article du site Madmoizelle.com, Miranda Priestley n’est pas la méchante du film Le diable s’habille en Prada. En effet, il s’agirait plutôt de Nate. Après analyse, on s’aperçoit que Nate, le petit ami de l’héroïne, n’est pas réellement bienveillant envers elle. Il en serait presque jaloux et l’empêche d’évoluer. Miranda Priestley qui est un personnage inspirée d’Anna Wintour, la rédactrice en chef du magazine Vogue est en réalité une femme pleine d’ambition. Elle est extrêmement déterminée et foncièrement féministe.

Luisa Casati : une anti-héroïne féministe artiste

Grande marquise Italienne et muse d’un grand nombre d’artistes, Luisa Casati est la reine de la démesure. En avance sur son temps, Luisa peut-être considérée comme une anti-héroïne. Elle organisait les bals les plus extravagants dans les palais les plus somptueux. Les rumeurs autour d’elle fusent et elle en joue. Qu’on l’aime ou non, ce qui est sûr est qu’elle marque les esprits et qu’elle s’assume pleinement et sans vergogne. Cette féministe a été maîtresse de son destin à travers l’art. En effet, étant en possession d’une grande fortune, elle a également financée de nombreux artistes en devenant mécène.

Les femmes qui font « ce qu’elles veulent » et qui ne rentrent pas dans des cases sont souvent perçues de manière négative. C’est pourquoi nous les avons appelées “les odieuses”. En effet, elles sont odieusement libres et rebelles. Mais c’est aussi pour ça qu’elles marquent les esprits, car elles ne suivent pas les codes de la société. Elles ne sont pas ce qu’on attend d’elles, des anti-héroïnes féministes ! Tout comme le sont les odieuses, les femmes de la collection Reinas sont toutes aussi libres et déterminées.