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Leonor Roversi x Divine Trouvaille Collab

Leonor Roversi x Divine Trouvaille : la collaboration

By LA MARQUE
Collab' Divine Trouvaille et Leonor Roversi foulard

Cette semaine, sort la collaboration Leonor Roversi x Divine Trouvaille. Tout comme Leonor Roversi, Divine Trouvaille est une marque lyonnaise fondée par la créatrice Valérie Bonnet. Cette marque revisite la soie lyonnaise, joyau de notre patrimoine textile afin de proposer de nouvelles façon de la porter.

Leonor Roversi x Divine Trouvaille : une collaboration autour de Frida Khalo

La pièce porte le nom “Freeda” car elle met en avant l’artiste mexicaine Frida Kahlo. Connue pour son art, elle est aussi reconnue pour ses engagements contre les injustices. Cette femme n’a jamais cessé de se battre pour ses rêves, d’où le nom “Freeda”. Il s’agit de la contraction du prénom de l’artiste et du mot “free”, qui signifie “libre” en anglais.

Pour cette collaboration 100% lyonnaise, nous reprenons deux éléments clés des deux marques : le visuel de Frida Khalo mis en avant par Leonor Roversi dans la collection Reflet de l’âme, et la soie de divine Trouvaille, ici travaillée en format gavroche. 

Leonor Roversi x Divine Trouvaille : une collaboration 100% lyonnaise

Le carré Freeda a été conçu et fabriqué en France et plus précisément à Lyon, capitale historique de la soie. Le visuel a été dessiné à la main pour être ensuite numérisé. La gavroche, vintage et tendance, s’associe à un visuel haut en couleurs.

Ces deux marques partagent également des valeurs qui leur sont chères. En effet, elles mettent toutes deux en avant un mode de conception éthique et local. Les accessoires de Divine Trouvaille sont tous conçus à Lyon et les visuels des pièces Leonor Roversi sont imprimés dans un atelier lyonnais.

Leonor Roversi x Divine Trouvaille Collaboration
Leonor Roversi x Divine Trouvaille Collab
Les odieuses : anti-héroïnes féministes

Les odieuses : des anti-héroïnes féministes

By 100% FÉMINISTE
Les odieuses : anti-héroïnes féministes

Dans l’art, la représentation des femmes est souvent peu diversifiée. De nombreuses figures féminines sont perçues de manière binaire. En les analysant davantage, on se rend compte que leur personnalité est bien plus complexe. Ces femmes sont nuancées. Elles ne sont pas juste méchantes ou juste gentilles. Dans cet article, nous vous proposons de redécouvrir trois femmes, des anti-héroïnes féministes, fictives ou réelles, qui incarnent parfaitement la femme libre, déterminée et artistique.

Maléfique : une anti-héroïne féministe attachante

Le personnage de Maléfique, anti-héroïne initialement introduit dans le film La Belle au bois dormant, a été l’héroïne de la saga éponyme. La représentation de Maléfique, « maîtresse absolue du mal », dans les films nous a beaucoup plu ! Dans un sens, elle brise les stéréotypes de la femme docile dans le cinéma. Elle montre aussi aux petites filles qu’elles peuvent avoir le caractère qu’elles désirent. Maléfique est un personnage féministe incarné par Angelina Jolie qui disait d’ailleurs que « les femmes en ont assez des injustices ». Contrairement au film de La Belle au Bois dormant, dans les films de la saga, Maléfique est réellement bienveillante envers Aurore. Malgré cela, Maléfique est perçue comme un personnage méchant bien que cette dureté est en partie dû à son histoire. En effet, on apprend que Maléfique à été victime de nombreux hommes, notamment de leur cupidité. 

Miranda Priestly : une anti-héroïne féministe déterminée

Miranda Priestly du Diable s’habille en Prada est une anti-héroïne qu’on admire tout de même de par sa puissance, son art, sa franchise et son glamour. Cette femme charismatique et froide soulève des questions chez nous toutes. Pression patriarcale, conditions de travail et même comment être assurément soi-même. Comme on a pu le lire récemment dans un article du site Madmoizelle.com, Miranda Priestley n’est pas la méchante du film Le diable s’habille en Prada. En effet, il s’agirait plutôt de Nate. Après analyse, on s’aperçoit que Nate, le petit ami de l’héroïne, n’est pas réellement bienveillant envers elle. Il en serait presque jaloux et l’empêche d’évoluer. Miranda Priestley qui est un personnage inspirée d’Anna Wintour, la rédactrice en chef du magazine Vogue est en réalité une femme pleine d’ambition. Elle est extrêmement déterminée et foncièrement féministe.

Luisa Casati : une anti-héroïne féministe artiste

Grande marquise Italienne et muse d’un grand nombre d’artistes, Luisa Casati est la reine de la démesure. En avance sur son temps, Luisa peut-être considérée comme une anti-héroïne. Elle organisait les bals les plus extravagants dans les palais les plus somptueux. Les rumeurs autour d’elle fusent et elle en joue. Qu’on l’aime ou non, ce qui est sûr est qu’elle marque les esprits et qu’elle s’assume pleinement et sans vergogne. Cette féministe a été maîtresse de son destin à travers l’art. En effet, étant en possession d’une grande fortune, elle a également financée de nombreux artistes en devenant mécène.

Les femmes qui font « ce qu’elles veulent » et qui ne rentrent pas dans des cases sont souvent perçues de manière négative. C’est pourquoi nous les avons appelées “les odieuses”. En effet, elles sont odieusement libres et rebelles. Mais c’est aussi pour ça qu’elles marquent les esprits, car elles ne suivent pas les codes de la société. Elles ne sont pas ce qu’on attend d’elles, des anti-héroïnes féministes ! Tout comme le sont les odieuses, les femmes de la collection Reinas sont toutes aussi libres et déterminées. 

Illustration de Maeve Wiley de Sex Education, féministe

Sex Education : Maeve, un personnage féministe

By 100% FÉMINISTE
Illustration Maeve Wiley Sex education article

Comme son nom l’indique, la série Sex Education aborde la thématique complexe de l’éducation sexuelle. Pertinente et juste, la série est appréciée par le public et par la critique et ce, depuis son lancement en 2019. La série est notamment saluée pour la diversité de ses personnages. Sex Education étant l’une des séries les plus inclusives sur le catalogue Netflix. Parmi les personnages, on retrouve Maeve. Il s’agit d’une jeune femme combative et bienveillante, qui symbolise le féminisme.

Qui est Maeve Willey de Sex Education

Maeve Willey fait partie des personnages principaux de la série Sex Education. Elle est interprétée par l’actrice Emma Mackey. Maeve est la “bad girl” du lycée de Moordale. Elle est connue pour sa nonchalance mais également son intelligence. Cette adolescente représente parfaitement la femme de 2021. Celle qui n’a pas à se montrer douce et mignonne pour être une femme. Pour autant, Maeve est un personnage qui ne manque pas de bienveillance quand il s’agit de ses proches, à qui elle n’hésite pas à apporter son soutien. Elle est notamment considérée comme féministe grâce à son caractère très prononcé mais surtout son aptitude à ne pas se laisser dicter ce qu’elle doit faire.

Maeve, un personnage féministe ?

Si il y a un aspect qui ressort particulièrement sur la personnalité de Maeve, c’est son côté “mauvaise fille”. En effet, elle aborde son look (un peu caricatural) d’ado rebelle qui semble avoir du mal à se mélanger aux gens de son âge. Bien que cela puisse ressembler à une crise d’ado, il est aussi visible qu’une femme ne souhaitant pas coller aux normes de beauté féminines est immédiatement perçue comme quelqu’un d’à part et de bizarre. A travers son look, Maeve exprime sa personnalité mais aussi son état d’esprit. Elle n’a pas à vouloir plaire aux autres pour être bien dans sa peau. A travers une démarche féministe, elle assume ses relations et ne pense pas aux jugements.

Maeve, un personnage positif

Bien qu’au premier abord Maeve est un personnage pouvant paraître antipathique notamment à cause de son sarcasme, elle apparaît très tôt comme une personne très attachante. Durant les épisodes de Sex Education, Maeve détruit différents clichés. Premièrement, elle montre qu’une femme n’a pas à être douce, sans pour autant faire manquer de bienveillance et de gentillesse. De plus, Maeve est une élève brillante qui ne représente pas le cliché habituel de l’élève surdouée. Aussi, elle est particulièrement ambitieuse et parvient à monter un business de sexologie au sein même de son lycée. Pour toutes ces raisons, Maeve est un personnage positif et engagé qui véhicule des valeurs que nous partageons chez Leonor Roversi, telles que la liberté, l’égalité, la sororité et surtout l’ouverture d’esprit.

femme qui porte un t-shirt crème avec la couleur naturelle du coton bio e la marque Leonor ROVERSI

La mode éco-responsable : la couleur naturelle du coton bio

By ÉTHIQUE ET ÉCO-RESPONSABLE

QUELLE EST LA COULEUR NATURELLE DES VÊTEMENTS EN COTON BIO ?

La mode actuelle nécessite une utilisation de très grande quantité de coton, ce qui a un impact négatif sur l’environnement. Une des solutions permettant de contrer cela repose sur la production de coton biologique et en particulier, l’utilisation de coton non traité afin de révéler sa couleur naturelle. 

POURQUOI LE COTON EST-IL L'UNE DES FIBRES LES PLUS EXPLOITEES AU MONDE ?

Le coton est une des fibres végétales les plus exploitées au monde. En effet, depuis des siècles le coton est reconnu pour sa douceur, ce qui en fait donc la matière la plus utilisée dans le textile. Principalement cueillis en Asie, les modes d’utilisation du coton n’ont cessé d’évoluer. 

Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises telles que Leonor Roversi proposent des vêtements éco-responsables en coton bio non blanchi afin de mettre en avant sa couleur naturelle. Découvrez les différentes caractéristiques du coton biologique ainsi que les moyens de révéler la couleur naturelle de cette matière.

COMMENT PRODUIT-ON DU COTON BIO ?

Comme pour le coton classique, le coton bio est généralement produit en Chine ou en Inde. La principale différence réside dans le mode de production. En effet, la production du coton bio est beaucoup plus respectueuse de l’environnement. Premièrement, l’agriculture biologique se fait sans pesticides, sans OGM… Bref, sans produits chimiques et toxiques. Néanmoins, cela ne veut pas dire que les cotonniers ne sont pas traités. Il est tout à fait possible d’utiliser de l’engrais ou des insecticides. Toutefois, les produits utilisés sont tous naturels. Par conséquent, la production de coton bio n’est pas nuisible à la planète. C’est pourquoi chez Leonor Roversi, nous utilisons uniquement du coton biologique dans la production de nos vêtements éco-responsables.

QUELS SONT LES AVANTAGES DU COTON BIO ?

En premier lieu, l’agriculture biologique est bien moins néfaste pour la planète. En plus d’éviter de polluer les sols, la consommation d’eau en est largement réduite. Selon la WWF, la production de coton biologique utiliserait 91% moins d’eau que pour le coton classique. La culture du coton biologique est bénéfique pour la planète mais également pour nous. En effet, la récolte de coton bio ne met pas en danger les personnes chargées de la récolte. Les agriculteurs ne sont pas en contact avec les produits chimiques qui peuvent se révéler dangereux. 

C’est notamment pour ces raisons que les vêtements éco-responsables Leonor Roversi utilisent uniquement du coton biologique certifié GOTS et FAIR WEAR. Nous pensons qu’une marque ne doit pas seulement être esthétique mais aussi éco-responsable et engagée. Dans cet objectif, il sera également possible de retrouver des vêtements éco-responsables en coton bio non traités, où l’on retrouve sa couleur naturelle.

QUELLE EST LA COULEUR NATURELLE DU COTON ?

De manière générale, une fois récolté et assemblé, le coton est blanchi ou bien coloré. Afin de proposer des vêtements éco-responsables plus authentiques, les entreprises s’engagent à proposer des tissus en coton non traités laissant découvrir la couleur naturelle du coton. En plus d’être issu de l’agriculture biologique, certaines entreprises, dont Leonor Roversi utilisent donc du coton bio qui ne sera ni blanchi, ni teinté. Grâce à cela, nous obtenons alors la couleur naturelle du coton, c’est-à-dire une couleur crème. Comme il s’agit de fibres naturelles à l’état pur, on y retrouve quelques imperfections qui donnent de l’authenticité au vêtement. Cette démarche permet également d’économiser de l’eau et de l’énergie. 

Pour ses nouvelles collections, Leonor Roversi essaie d’implémenter davantage d’articles mettant en avant la couleur naturelle du coton. 

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Citation Joséphine Baker illustration

Joséphine Baker : une icône aux multiples facettes

By 100% FÉMINISTE
Dessin Joséphine Baker Panthéon

De son vrai nom Freda Josephine McDonald, Joséphine Baker est une des figures marquantes du XXème siècle. Dans la mémoire collective, on se souvient principalement d’elle pour ses spectacles de cabarets vêtue de sa célèbre ceinture de bananes. Mais Joséphine Baker est bien plus qu’une artiste de Jazz, elle est avant tout, une résistante au nazisme, une militante des droits de l’Homme, ainsi qu’une féministe avant-gardiste, qui sera bientôt la première femme noire à entrer au Panthéon.

UNE ICÔNE DES ANNÉES FOLLES

La notoriété acquise par Joséphine Baker relève de l’exploit. A une époque où le racisme est omniprésent dans la société, cette femme noire aux origines espagnoles, afro-américaines et amérindiennes est parvenue a conquérir le public des plus grands cabarets parisiens. Avec des débuts en tant qu’artiste de rue, Joséphine Baker est une femme avec une persévérance à toute épreuve. Elle est parvenue à se hisser dans au sommet du paysage artistique français, notamment avec sa chanson “J’ai deux amours”. Titre, qui a connu dès sa sortie, un succès immédiat. Comme l’artiste l’a toujours revendiquée, sa condition n’est en rien un frein à ses rêves :
“Je ne suis intimidée par personne. Nous sommes tous fait de deux bras, deux jambes, un ventre et une tête » 

UNE MILITANTE ANTI-RACISTE

Comme l’auteur Laure Adler l’écrit, “Les femmes artistes sont dangereuses”, car elles apportent au monde leur vision, quitte à déranger et casser les codes. Joséphine Baker en est le parfait exemple. Derrière le folklore de ses spectacles en cabarets, elle dénonçait les travers de la société de l’époque. Elle luttait principalement contre les injustices tels que le colonialisme et le racisme de l’époque.

UNE RÉSISTANTE DE GUERRE

Durant la Seconde Guerre mondiale, Joséphine Baker qui était déjà connue en tant que vedette du music-hall, a servi la France de nombreuses manières. Elle a tout d’abord apporté son soutien aux soldats français à travers son talent. Elle a ensuite continué en tant qu’agent double aux services des Alliés. En tant que résistante française, Joséphine s’est vu décorer de différents titres prestigieux. Elle recevra notamment la Médaille de la Résistance française, la Croix de Guerre ainsi que la Légion d’Honneur. 

Même après sa mort en 1975, Joséphine Baker continue de marquer l’histoire, et sera la première femme noire à faire son entrée au Panthéon, qui est prévue pour le 30 novembre 2021.
Chez Leonor Roversi, ce sont des femmes puissantes telles que Joséphine Baker qui nous inspirent. A travers nos collections, nous souhaitons les mettre en avant, comme c’est le cas pour la collection SHE.RO, dans laquelle les femmes marquantes de l’histoire sont mises à l’honneur.

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Mode écoresponsable à Lyon

La mode écoresponsable à Lyon

By 100% FÉMINISTE
Photo boutique village des créateurs bannière article site mode écoresponsable à Lyon leonor roversi

La mode écoresponsable à Lyon

Dans une société de surconsommation, des marques lyonnaises sont engagées pour une mode éthique. Luttant pour leurs valeurs, elles prônent un mode de vie écoresponsable. Ensemble, elles créent la mode écoresponsable à Lyon.

L'INCITATION A LA SURCONSOMMATION

La mode fascine et fait rêver. S’habiller est indispensable pour tous, cela permet parfois l’affirmation de soi. La mode est un art pour certains, et une futilité pour d’autres. Cependant, la mode est devenue, à travers les années, symbole de capitalisme de séduction. Les marques usent des tendances, qui souvent passent très vite, pour créer du désir chez les consommateurs. Ainsi, ils sont incités à acheter toujours plus de vêtements, donc à la surconsommation.

Audrey Millet dénonce ce qu’elle nomme la mondialisation malade, dans son ouvrage Le Livre Noir de la mode. Elle utilise sa voix pour oser parler de ce qu’il se cache derrière les motifs et les formes, derrière les corps naturels retouchés. Elle ose parler du travail des enfants, de la discrimination, des abus et du harcèlement des patrons, des salaires bas, et surtout des dégradations environnementales.

L’auteure amène à repenser le modèle économique. Elle amène les créateurs, les entrepreneurs, les patrons, les citoyens, à adhérer à un système global de production respectueux de l’environnement et à une mode éthique. Elle veut amener à réhumaniser la mode pour la sauver, en optant pour un mode de vie engagé écoresponsable.

CES MARQUES LYONNAISES QUI VEULENT CHANGER LES CHOSES

A Lyon, plusieurs marques ont décidé de faire taire l’incitation à la surconsommation en créant des marques de mode éthique. Elles veulent donner du sens à ce que l’on porte.

Les Curieux est un concept store lyonnais qui met en valeur des marques lyonnaises écoresponsables. On y retrouve du prêt-à-porter pour hommes, femmes et enfants, un coiffeur mixte, un espace bien-être, un salon de thé et des ateliers créatifs. Les Curieux ont créé un lieu hybride où se mélangent des idées et des produits écoresponsables. Ils soutiennent des projets engagés vegan, bio, équitables et/ou locaux.

Dans la même dynamique, Azaadi offre de la mode éthique et solidaire. L’objectif de la marque lyonnaise engagée est de soutenir économiquement et durablement les artisans indiens avec qui ils travaillent en garantissant un salaire juste. Amoureuse du pays indien, la créatrice Lisa veut partager la culture du pays à travers les tissus traditionnels. Elle se déplace tous les ans dans la région du Karnataka où sont fabriqués les vêtements.

LA MODE ECORESPONSABLE A LYON CHEZ LEONOR ROVERSI

De même, Leonor Roversi fait partie de ces marques lyonnaises proposant une mode éthique. La marque se bat pour des projets engagés tels que la protection de l’environnement et les bonnes conditions de travail des employés lors de la confection des vêtements. En luttant contre la surconsommation, la marque engagée écoresponsable propose des vêtements intemporels.

En effet, les vêtements sont fait avec du coton 100% bio, et l’impression est faite à Lyon avec de l’encre écocertifiée pour ne pas polluer l’eau. Aussi, la marque écoresponsable travaille avec l’entreprise Stanley/Stella. Celle-ci garantie du coton bio mais également les bonnes conditions de travail des artisans. Les certifications qu’ils possèdent comme par exemple GOTS ou OEKO-TEX témoignent de leurs engagements.

Nous nous engageons à proposer des produits plus durables et écoresponsables. Leonor Roversi est une marque fière de faire partie de celles qui veulent faire bouger les choses par leurs engagements. Ayant la chance d’avoir des marques engagées, il est nécessaire que nous nous engagions tous ensemble à une consommation plus respectueuse de l’environnement dans lequel nous vivons afin de préserver notre belle planète et une consommation plus respectueuse des hommes.

 

Retrouvez ces marques à ces adresses !

 

Les Curieux : 18 Rue Palais Grillet, 69002 Lyon

Azaadi : 18 Rue René Leynaud, 69001 Lyon

Leonor Roversi : 18 Rue René Leynaud, 69001 Lyon / 6 Place des Jacobins, 69002 Lyon / Rue Bellecordière, 69002 Lyon

 

 

 

 

 

 

 

Ecriture : insta @eleadx_ , DIJOUX Eléa, nouvelle chargée de communication chez Leonor Roversi

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Illustration article site Les Figures de l'ombre leonor roversi

Les Figures de l’ombre : ces femmes afro-américaines qui ont changé l’histoire de la science

By 100% FÉMINISTE
Illustration rose femmes noires Mary Jackson, Katherine Johnson Dorothy Vaughan

Les Figures de l’ombre : ces femmes afro-américaines qui ont changé l’histoire de la science

Les Figures de l’ombre est l’adaptation du livre Hidden Figures de Margot Lee Shetterly. Il met en scène des femmes afro-américaines travaillant à la NASA. Le film raconte l’histoire inspirante de Mary Jackson, Katherine Johnson et Dorothy Vaughan, qui se sont battues pour leurs droits de femme, ainsi que pour l’acceptation des personnes de couleurs.

LES FIGURES DE L'OMBRE, UNE ADAPTATION REUSSIE

Le film Les Figures de l’ombre est l’adaptation du livre Hidden Figures de Margot Lee Shetterly. Il retranscrit l’histoire inspirante de trois calculatrices : Mary Jackson, Dorothy Vaughan et Katherine Johnson.

L’histoire se déroule dans les années 1960 en Virginie aux Etat-Unis. A une époque où les personnes de couleurs étaient discriminées et les femmes n’avaient par encore leur place au sein du monde du travail, ces femmes afro-américaines se battent pour leurs droits de femmes.

Toutes les trois ont contribué aux programmes aéronautiques et spatiaux de la National Aeronautics ans Space Administration (NASA), ainsi qu’à l’acceptation des personnes de couleurs.

KATHERINE JOHNSON, UNE FEMME INSPIRANTE

Dotée d’aptitudes intellectuelles supérieures, Katherine Johnson s’est vue parfaire son don pour les sciences dans une école pour Noirs. En effet, les Blancs se voyaient fréquenter des établissements publics séparés des personnes de couleurs.

Par la suite, elle devient mathématicienne et travaille au sein des calculatrices humaines dans le même groupe que ses deux amies : Mary Jackson et Dorothy Vaughan.

Katherine Johnson finit dans le Space Task Group à la suite du lancement de Spoutnik 1 afin de vérifier des calculs. Elle devient la première femme afro-américaine à travailler dans ce groupe de recherche.

Néanmoins, cette femme afro-américaine doit se battre pour ses droits de femme et pour l’acceptation de sa couleur de peau dans le monde du travail. A son bureau, elle doit faire face à différents obstacles, tels que le sexisme et le racisme. Les chiffres lui sont partiellement masqués, et les hommes ne la laisse pas boire son café dans la même cafetière qu’eux. Nous vivons son histoire inspirante à travers des scènes marquantes.

Finalement, Katherine Johnson participe au lancement de Friendship 7 et finit par être fêtée comme un héros national. Elle fait partie de ces figures de l’ombre, qui ont permis une grande avancée pour la science. Elle participera aux calculs de trajectoire de l’Apollon et du programme Mercury.

L'INCROYABLE MARY JACKSON

Calculatrice humaine dans le Centre de recherche Langley comme ses deux amies Dorothy Vaughan et Katherine Johnson, Mary Jackson aspire à être ingénieure. En se battant pour ses droits de femme et de personne de couleurs, elle obtient d’un juge le droit de suivre des cours du soir en ingénierie dans une école réservée aux Blancs.

Finalement, cette femme afro-américaine obtient sa licence en ingénierie. Elle fait partie de ces figures de l’ombre qui comptent son histoire inspirante, ayant poursuivi des cours le soir, en travaillant toute la journée, dans un Etat sexiste et raciste, pratiquant la ségrégation.

LA FABULEUSE DOROTHY VAUGHAN

Superviseure d’équipe au sein du groupe de calculatrices humaines, Dorothy Vaughan se bat pour ses droits de femme afin que son poste soit officiellement reconnu.

Malheureusement, l’histoire inspirante de cette femme afro-américaine se termine mal. Elle apprendra que son groupe de calculatrices va être dissout. Et ce, pour cause de l’avancée technologique et de l’arrivée de l’ordinateur IBM 7090.

Dorothy finit par s’intéresser de près aux langages de programmation Fortran, qu’elle enseigne aux femmes afro-américaines sous sa supervision. Etant la seule à faire fonctionner l’ordinateur, elle obtient le droit de programmer. Son travail est finalement jugé essentiel et elle fait en sorte de transférer ses calculatrices à la division des calculs informatiques.

Dorothy fait partie de ces figures de l’ombre, qui ont contribué à de grandes choses pour la science informatique, se battant pour l’acceptation des personnes de couleurs.

Ces trois femmes afro-américaines se sont battues pour leurs droits de femmes ainsi que pour l’acceptation des personnes de couleurs. Ces figures de l’ombre ont changé l’histoire de la science. Leonor Roversi adore s’inspirer des femmes aussi importantes de l’histoire.

Notre collection Shero fait d’ailleurs référence à toutes les femmes qui ont changé l’histoire. Dans cette collection, les prénoms de ces femmes figurent sans leurs noms de famille afin que chaque femme puisse devenir sa propre héroïne.

 

 

 

Illustration : insta @vics.universe

Ecriture : insta @eleadx_ , nouvelle chargée de communication chez Leonor Roversi

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